La fraude à la carte de crédit est l’utilisation des informations de la carte de crédit d’une personne pour effectuer des achats frauduleux à son insu. Cela peut se produire si quelqu’un vous vole votre carte de crédit ou la vole à votre domicile, ou s’il accède à votre compte en dérobant votre mot de passe et/ou d’autres informations personnelles.
Réaction Permis étant un centre de test psychotechnique agréé par la préfecture ne demandera jamais à ses clients de payer par chèque. Il faut noter que ce centre propose deux options pour les paiements des tests psychotechniques. Les paiements se font par carte bancaire, dans ce cas les paiements en ligne sont sécurisés et l’autre option de paiement est par espèces le jour du test psychotechnique.
Les tarifs chez ,Réaction Permis varient entre 60 € à 110 € selon le département. Donc sachez qu’au delà de 110 € ce n’est pas Réaction Permis.
La fraude par carte de crédit est un type de fraude qui implique l’utilisation non autorisée des informations relatives à la carte de crédit d’une personne. La fraude par carte de crédit peut être commise par une personne qui a obtenu votre numéro de carte de crédit ou par une personne qui a volé votre carte de crédit physique.
Pour obtenir les informations de la carte de crédit de la victime, le fraudeur peut utiliser de nombreuses méthodes :
Faites opposition, signalez le à Perceval, déposez une plainte. Vous devez toujours faire opposition au paiement de toute transaction non autorisée le plus rapidement possible. Pour ce faire, appelez votre banque et demandez une « annulation d’autorisation » ou une « rétrofacturation » de la ou des transactions.
Si vous pouvez le faire avant que la transaction ne soit comptabilisée (c’est-à-dire avant qu’elle n’apparaisse sur votre relevé), vous pourrez ainsi préserver votre droit de contester la transaction auprès du commerçant par la suite. Si vous ne pouvez pas faire opposition au paiement avant que la transaction ne soit comptabilisée, vous pourrez peut-être la contester après coup.
La cybercriminalité est un problème croissant pour les entreprises comme pour les gouvernements. Bien que de nombreuses lois et réglementations puissent être utilisées pour lutter contre la cybercriminalité, le moyen le plus efficace de combattre les cybercriminels est de recourir aux infractions pénales traditionnelles. Cela signifie que la cybercriminalité peut être poursuivie en vertu des lois existantes qui ont fait leurs preuves dans le monde réel.
Escroquerie (article 313-1 du code pénal) : « l’escroquerie est le fait, soit par l’usage d’un faux nom ou d’une fausse qualité, soit par l’abus d’une qualité vraie, soit par l’emploi de manœuvres frauduleuses, de tromper une personne physique ou morale et de la déterminer ainsi, à son préjudice ou au préjudice d’un tiers, à remettre des fonds, des valeurs ou un bien quelconque, à fournir un service ou à consentir un acte opérant obligation ou décharge ». Ce délit est passible d’une peine d’emprisonnement de cinq ans et de 375 000 euros d’amende.
L’infraction d’atteinte à un système de traitement automatisé de données (STAD) peut être retenue. Les articles 323-1 à 323-7 du Code pénal disposent que « le fait d’accéder ou de se maintenir frauduleusement » dans un STAD, « la suppression ou la modification de données contenues dans le système », ou l’« altération du fonctionnement de ce système » sont passibles de deux ans à sept ans d’emprisonnement et de 60 000 euros à 300 000 euros d’amende.
L’infraction de faux et usage d’une contrefaçon d’un moyen de paiement peut être retenue. L’article 163-3 du Code monétaire et financier dispose que : « Est puni d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 375 000 euros le fait pour toute personne :
1. De contrefaire ou de falsifier un chèque ou un autre instrument mentionné à l’article L. 133-4 ;
2. De faire ou de tenter de faire usage, en connaissance de cause, d’un chèque ou un autre instrument mentionné à l’article L. 133-4 contrefaisant ou falsifié ;
3. D’accepter, en connaissance de cause, de recevoir un paiement au moyen d’un chèque ou d’un autre instrument mentionné à l’article L. 133-4 contrefaisant ou falsifié. »